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L'alimentation de la femme pendant la grossesse, l'allaitement et le post partum est primordiale

Les femmes arrivent très souvent en post partum fatiguées, épuisées, au bout du rouleau. On sous estime, à tort, l'impact de l'alimentation dans tout ce processus physique. Pourtant, à l'heure de l'industrialisation de l'alimentation, de la complémentation et des petites pilules magiques, il est fondamental de revenir à la biologie de base de l'être humain.

Qu'est-ce que la physiologie ? C'est la façon dont la nature s'exprime. C'est donc d'un point de vue naturel tout ce qui va constituer un être humain de manière basique, biologique et instinctive.

Notre alimentation de base est donc celle qui est adaptée à notre physiologie : un régime Chasseur-Cueilleur. C'est une alimentation à base de produits bruts, non transformés et vivants. Une alimentation riche en nutriments biodisponibles ET qualitatifs.

Il y a tellement de femmes épuisées, amaigries, avec des chutes de cheveux énormes, des carences explosives, des mois voir des années après la naissance de leurs bébés.


L'alimentation végétale prônée par le Heathly green World est malheureusement incompatible avec notre mécanique humaine. Pour être en parfaite santé tout au long de notre vie (non dix ans de véganisme ne veut pas dire qu'on sera en bonne santé quand nous serons âgés.) nous devrions consommer des protéines animales à chaque repas (viande, poisson, fruit de mer, abats, bouillons d'os, lait cru, oeufs.) Notre corps a besoin de nutriments biodisponibilité, et aucun nutriments ne peut l’être dans une alimentation vide. (Ex : lait végétaux, produits transformés …). Une alimentation végétale passe forcément par une consommation de compléments, même si bio et qualitatifs qui seront forcément manipulés, transformés et crées en laboratoire. Les céréales et autres légumineuses sont pleines d’anti nutriments, nous comme les animaux ne sommes PAS faits pour en consommer, ce sont des aliments créés pour assurer le rendement et la survie des espèces (survie n’étant pas égal à santé). Nul doute que dans la nature nous ne trouverions pas des champs entiers de tournesols pour fabriquer des huiles cancérigènes.


Je pense qu’il est important de se poser la question sans détour : qu’est ce qui fait de moi un être humain ? A l’état sauvage qu’est ce que je consommerai pour être en bonne santé? J’ai conscience que la majorité des êtres humains sur Terre ne peuvent / veulent pas se nourrir de la façon la plus juste et équilibrée qui existe. Tout simplement parce que le monde dans lequel nous vivons n’est plus sauvage, et parce que l'impact humain est trop fort. Mais cheminer est important. Surtout que les femmes durant la grossesse et l'allaitement produisent pour nourrir leurs bébés, elles puisent sur leur propres ressources, et se retrouvent carencées. Avec toutes les injonctions sur la nourriture, complètement en désaccord avec notre biologie. Difficile de s'y retrouver ; et c'est bien normal ! Nous vivons dans une société, dans un monde où l’instinct, la nature a complètement laissé place à la standardisation, l’industrialisation et la protocolisation. Parce qu’aujourd’hui les femmes ont peur, se sentent incapables et dépossédées. On crée une alimentation vide, complètement inadaptée, les naissances sont loin d'être naturelles. Bien sûr que tout cela a un impact sur notre nature. On ne peut pas penser que toute cette automatisation, cette industrialisation n’a aucun effet sur nous alors que nous sommes déjà en involution depuis bien trop longtemps.

Le Dr Pottenger a fait une expérience sur les chats pendant plusieurs années, il a étudié deux groupes de chats : l'un nourri aux croquettes industrielles. L'autre à la viande cru. Il s'est aperçu, que le premier groupe disparaissait à la quatrième génération mais qu'en plus il avait des problématiques intéressantes : la forme de la mâchoire changeait (ce qui explique aujourd'hui toutes nos problématiques d'allaitement, de succion et de freins restrictifs), des naissances plus longues et difficiles, des maladies cancérigènes et autres troubles.


La question se pose aujourd'hui ; allons nous finir comme les chats de Pottenger ?







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